Exposition de Sabrina D’AGLIANO

En 2014, nous éditions une « feuille de céramique » de Sabrina D’Agliano forte de trois pièces originales faites de métal rouillé, papier aquarellé et carton, et Raphaël Monticelli avait compris que le lien qui unissait ces trois pièces très différentes et les peintures et sculptures de Sabrina était l’eau, à la fois matière (outil) et image. Il en sortait « elle dit Venise » Cette nouvelle exposition et les trois livres édités à cette occasion – deux feuilles de céramiques et un Musée de poche – poursuivent la même thématique : peintures-reflets, sculptures évanescentes dont les lignes se perdent, nous perdent, entre air et eau, xylographies et collages… En 2014, elle nous faisait aussi découvrir un art japonais inconnu en Europe : le Mokume gane, qui permet d’obtenir un métal laminé dont les différentes couches et métaux sont visibles… et sa passion pour le Japon.