Alain Lestié nous a montré, dans ses premiers bois réalisés pour un Musée de Poche, la finesse et la précision de son travail, développé alors dans une construction géométrique, symbolique, voire abstraite. Il réinventait la gravure sur bois pour la faire lumière et matière. Pour l’Iliade, comme nous le verrons aussi dans les vingt ans de la galerie, il reste attaché au signe mais redevient figuratif. Encore une fois le tout est exécuté en parfaite harmonie avec son travail habituel de dessin au crayon noir.