Exposition d’Eric Massholder
du 23 octobre au 21 novembre 2020Les femmes aux lunettes d’Eric Massholder ne portent pas de lunettes – c’est leurs corps en tout ou partie qui s’inscrit dans une paire de lunettes.
Pourtant ces lunettes sont le signe d’un regard – leur regard ou un regard sur elle – souvent elles se cachent derrière leurs lunettes, souvent noires – mais plus souvent encore, elles sont objets des regards…
Six xylographies, à peine rehaussées d’un trait de lumière, constituent ce portfolio.
Eric Massholder ILLUSTRE « FEMMES AUX LUNETTES » D ’ODILE COHEN-ABBAS
UN PORTFOLIO DE SIX BOIS GRAVÉS REHAUSSÉS
Caractéristiques de l’ouvrage :
– Format : 33 x 36 cm.
– Emboîtage : édition présentée en feuilles sous étuis et jaquettes.
– Typographie : Les textes sont composés en Garamont corps 18 italique et romain, et tirés sur les presses de La Diane Française à Nice.
Justification du tirage :
– 5 ex de tête enrichis d’une suite des illustrations, numérotés de 1 à 5/20
– 15 ex. numérotés de 6 à 20/20, comportant la totalité des xylographies, signées par l’artiste
– 20 exemplaires réservés à l’artiste, numérotés EA
– 10 exemplaires hors commerce, numérotés HC
L’illustration de la vie de saint Rémy, sa naissance miraculeuse, sa piété, son humilité – « La naissance de ce glorieux docteur et confesseur de la foi a été prophétisée par un ermite… Dès sa jeunesse, Rémy évita le monde et entra dans un couvent. Mais à vingt-deux ans, sa renommée, sans cesse croissante, lui valut d’être choisi par tout le peuple pour l’archevêché de Reims. » – et du récit fondateur du baptême de Clovis est réalisée en gravure sur cuivre.
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Dès les années 70 Max Charvolen travaillait la toile brute, libérée du châssis, par des jeux de découpes, de renversements et déjà l’importance du rapport entre œuvre et espace de monstration apparaissait. Depuis de nombreuses années l’œuvre colle à l’espace...
Exposition d’Eric Massholder
Une suite aux femmes aux lunettes… Contourner. Qu’y a-t-il au-delà des verres teintés ? La réponse des yeux au soleil. Et dans l’obscurité des corridors ou la pénombre des bâtiments publics ? Le disparaître renouvelle l’apparaître. S’adonner aux lunettes comme à...
Exposition d’Eric MASSHOLDER
« Si pour Paul Valéry, la danse était « une fête intense du corps », j’aimerais quant à moi préciser qu’elle est une fête de l’âme où les sens sont invités. »